Cette manifestation organisée par l’Agence nationale de lutte contre l’illettrisme (ANLCI) et introduite par Carole Grandjean, ministre déléguée chargée de l’Enseignement et de la Formation professionnels a permis de mettre en valeur les bonnes pratiques en matière de dépistage de l’illettrisme en entreprise et dans les programmes d’apprentissage.

2,5 millions de personnes sont en effet en situation d’illettrisme dont 9 % de 18 à 25 ans.
Alors que l’apprentissage est quantitativement en plein développement, le repérage et l’accompagnement des jeunes apprentis est un enjeu important et doit mobiliser tous les acteurs concernés.

Par ailleurs, la création d’un observatoire de l’illettrisme et de l’illectronisme doit permettre d’améliorer la détection des publics et secteurs concernés .

Son approche territoriale devrait aider les acteurs, à commencer par les CREFOP, pour mettre en place des actions locales.

Alors que le développement des compétences est une priorité absolue, l’UNSA se félicite de ces nouveaux moyens mis à disposition.

Avec ses équipes, elle sera vigilante au sein des entreprises, des branches, des OPCO, des CREFOP sur la mise en œuvre effective de ces annonces au bénéfice de ceux qui parfois souffrent en silence de ne pas savoir ni lire, ni écrire, ni utiliser un ordinateur.